VOTRE INTELLIGENCE EMOTIONNELLE AU CŒUR DU LEADERSHIP, AIGUISEZ-LA

Il s’agit là d’une des compétences fondamentales des managers et des dirigeants. L’incertitude s’est invitée dans nos vies. Apprenons à « rester en selle » malgré l’apparition des crises !

Régine Turmeau – 25 oct. 2020

Les recherches en neurosciences montrent que les émotions jouent un rôle essentiel dans la vie professionnelle et sociale. Les décoder pour passer à l’action, et nous adapter à un monde qui bouge, est une compétence essentielle à développer.

1) Fondements de l’intelligence émotionnelle

Grâce aux émotions, nous évitons les dangers et nous pouvons saisir les opportunités. L’intelligence émotionnelle (IE) nous permet de ressentir et de faire le lien entre les émotions et la pensée. Il s’agit de les accepter, d’en comprendre les messages, puis de les apprivoiser. Mais aussi de repérer le ressenti de nos interlocuteurs et de percevoir leurs humeurs. Un haut niveau d’IE devient une des compétences fondamentales des managers et des dirigeants .

2) Comprendre ses émotions et celles des autres

Chacun a sa propre perception d’une même réalité. Aiguisez votre attention et votre sens de l’observation à vos réactions corporelles. Les techniques de respiration contribuent à l’équilibre émotionnel. Protégez-vous des diverses sollicitations pour être pleinement présent à votre travail et respectez la concentration des autres. Contrairement à ce que l’on pense, l’intuition n’est pas un sixième sens, mais se construit avec l’expérience. La communication non verbale transmet aussi l’émotion.

3) Victimes de biais

Nous devons en permanence nous adapter aux comportements des autres personnes. Notre vie émotionnelle est très influencée par nos croyances et nos valeurs. Des biais cognitifs entraînent des erreurs d’appréciation ou des décisions irrationnelles. Le biais de confirmation, lui, consiste à ne considérer que les informations qui confirment nos convictions. Lorsque les politiques serrent les mains en souriant, ils utilisent le biais de sympathie.

4) S’exprimer de façon appropriée

Choisir ses mots revêt une grande importance, et dans la clarté. Il existe des spécificités culturelles dans chaque entreprise. Si le verbal et le non-verbal sont en cohérence, votre interlocuteur comprendra ce que vous exprimez. Accueillir ses émotions n’implique pas de négliger les vôtres. Dans une équipe, le climat de confiance qui règne dépend souvent de la posture du manager.

5) Inspirer la performance avec l’IE

Pour que les collaborateurs s’intéressent à l’entreprise, il faut qu’elle s’intéresse à eux : la loi de la réciprocité. Vivre un changement, c’est tâtonner, prendre un risque. On peut se former à l’intelligence émotionnelle. Elle est au cœur du leadership. En cette période de pandémie, nous sommes ballottés par des informations contradictoires. L’incertitude s’est invitée dans nos vies. Apprenons à « rester en selle » malgré l’apparition des crises !

10 CONSEILS POUR LA GESTION DES CONFLITS EN MILIEU PROFESSIONNEL

La gestion des conflits professionnels est l’une des obligations auxquelles font face au quotidien de nombreux managers ou chefs d’entreprise. Que ce soit entre les membres d’une équipe ou entre le subordonné et son supérieur hiérarchique, les conflits au travail sont légion. Ils sont à cet effet inévitables mais leur gestion nécessite un management de qualité. Comment identifier les conflits à leur état précoce et les résoudre pacifiquement pour une parfaite harmonie au sein de l’entreprise ?

Relaxation bio-dynamique – 11 Mar 2019

Les conflits au travail

On distingue au total 7 différents types de conflits professionnels. Il s’agit des conflits d’objectifs, de méthodes, de valeurs, d’intérêts, de besoins, de points de vue et de perceptions des faits. Selon une analyse effectuée par le cabinet OPP, 8/10 des travailleurs sont impliqués ou témoins des conflits en milieu de travail. La gestion des conflits peuvent consommer beaucoup de temps de travail pour les entreprises. Une réalité qui témoigne de leur récurrence et de la nécessité de se former les managers pour éviter ou résoudre les situations conflictuelles au travail.

Manager une équipe revient à s’outiller pour la gestion des conflits entre les employés. Les résultats d’une enquête démontrent que plus de 41 % des salariés assurent avoir connu des désaccords avec leurs supérieurs. Malgré les formations dont bénéficient les responsables des ressources humaines, la question des conflits est toujours d’actualité.

Anticiper les conflits professionnels : Identifier les causes

Qu’il s’agisse des mésententes sur les méthodes de travail ou sur les objectifs à atteindre, les causes des conflits professionnels sont multiples. Elles peuvent être liées aux jeux de pouvoir, à la jalousie ou encore à une charge élevée de travail.

Les conflits au travail ne sont pas cependant indésirables ou négatifs dans tous les cas. Leur gestion permet de creuser le fond des différends et de découvrir de nouvelles alternatives à l’organisation du travail.

10 Conseils pour la gestion des conflits en milieu professionnel

La gestion des conflits est nécessaire pour améliorer la qualité de vie au travail et les rendements de ses employés. Nous vous proposons ici 10 conseils pour anticiper et désamorcer une situation conflictuelle au travail.

Gérer un conflit de travail

1. Comprendre l’origine des conflits entre les travailleurs

Il est primordial de déterminer les sources de l’embrouille entre vos employés. L’objectif à ce stade est de résoudre le problème et éviter à l’avenir de telles situations. Le dirigeant peut faire appel aux protagonistes du conflit pour une écoute active afin de déjouer les jeux de pouvoir. Ceci permet de maintenir la communication entre les employés et d’éviter l’accentuation du conflit. Il est conseillé d’intervenir au stade précoce du conflit pour minimiser les dégâts collatéraux.

2. L’importance de déjouer les jeux psychologiques

Les jeux psychologiques apparaissent dans une situation difficile. On assiste à un triangle dramatique où les acteurs jouent des rôles interchangeables. Tantôt victime, tantôt bourreau ou sauveur. Il est important de détecter le rôle que s’attribue chaque acteur. Cela vous permettra de prendre une décision qui ne déclenchera pas un mécontentement entre les acteurs du conflit. Vous pourrez ainsi demander à la victime d’exposer ses besoins et au persécuteur la nature de son projet.

3. Proposer un compromis pour la gestion des conflits

Dans certaines situations conflictuelles dans l’entreprise, le compromis apparaît comme la meilleure option de management. Le manager doit s’atteler à organiser une rencontre entre les personnes en conflit dans un lieu neutre et confortable. Il doit dans ce cas privilégier la confidentialité de la rencontre. Il est recommandé de tenir de telles réunions en début de semaine et dans la matinée pour une simple raison : les travailleurs sont moins tolérants sous l’effet de la fatigue.

Par ailleurs, cette méthode permet de travailler sur la confiance de ses employés et d’améliorer les relations interpersonnelles. Avec cette approche, le dirigeant d’entreprise a la possibilité d’écouter et de comprendre les protagonistes du conflit et de trouver une issue d’entente. Le sentiment d’être écouté et compris fait baisser le ressenti des personnes en conflit et de trouver un terrain d’entente.

4. La médiation pour gérer les conflits dans une entreprise

Dans une situation de crise où toute l’équipe est concernée, la médiation est une clé essentielle pour la gestion du conflit. Il peut s’agir dans ce cas d’un conflit entre deux clans d’une même équipe. La résolution du conflit permet d’avoir une bonne communication entre les membres de l’équipe et d’améliorer les relations interpersonnelles.

La médiation est la première approche utilisée par les grandes entreprises telles que Orange, Coca-Cola et bien d’autres. Selon différents médiateurs, elle est la méthode à utiliser dès que les protagonistes d’un conflit ne se parlent plus. Le médiateur est neutre, indépendant, impartial et ne doit pas être concerné par le conflit. Il est bien placé pour aider à renouer le dialogue entre les travailleurs d’une entreprise.

Toutefois, il s’agit d’une méthode difficile à mettre en place car il faut trouver une solution acceptée par les différentes parties.

5. Prendre une décision tranchée pour mettre fin au conflit dans l’entreprise

Tous les conflits au travail ne peuvent pas être résolus avec la même approche. Une gestion « autoritaire » peut s’avérer l’unique approche pour gérer un conflit de travail. Un agent de sécurité qui est victime des railleries de la part des autres salariés de l’entreprise peut avoir du mal à remplir ses obligations ou manquer de confiance en soi. L’intervention du chef d’entreprise est nécessaire dans ce cas pour taper du poing sur la table ou prévenir les mis en cause d’une éventuelle sanction. La victime peut donc continuer ses tâches dans la plus grande sérénité.

Il convient de souligner que les sanctions ne doivent pas être le recours privilégié d’un manager. Il doit savoir alterner entre les sanctions et le recours à des méthodes pacifiques.

6. La gestion du temps et la gestion des conflits en milieu professionnel

Les dirigeants d’entreprise ont également la possibilité de gérer les conflits en laissant la situation se décanter. En intervenant dans certains conflits plus tôt, le manager peut mettre à court d’argument les personnes concernées. Il faut savoir faire profil bas tant que le conflit n’affecte pas le travail ou les résultats. II s’agit d’une méthode à utiliser dans les situations où vous avez beaucoup à perdre en intervenant que de maintenir le statu quo. Votre intervention pourrait envenimer la situation.

7. Prendre en compte les différences et similarités de vos employés

L’identification des différences et des similarités des employés de votre entreprise est nécessaire pour valoriser la diversité. Les différences d’opinion ou de culture sont souvent à l’origine des conflits. Elles ne devraient néanmoins pas affecter le travail mais constituer une richesse à valoriser.

Pour y parvenir, il est important de démontrer à vos employés en quoi leurs différences peuvent contribuer à la réussite de leur collaboration.

8. Mettre en valeur les compétences de vos employés

Lorsqu’un conflit survient, le dirigeant d’entreprise a tendance à se focaliser les points négatifs. Il faut aussi mettre en avant les compétences de l’employé et sa contribution aux objectifs de l’entreprise. Cela permet de diluer les vins et de gérer les conflits en toute simplicité. Les travailleurs deviennent en effet plus ouverts au débat : le climat du conflit devient moins pesant.

9. Faire preuve de professionnalisme pour gérer les conflits de travail

Il est important que le dirigeant d’entreprise reste professionnel. Ce dernier doit pouvoir faire la part des choses entre les questions personnelles et professionnelles. Il faut veiller de telle sorte que le conflit n’impacte pas les relations personnelles entre les employés.

10. Anticiper les conflits en milieu de travail

En tant que dirigeant d’entreprise, vous gagnerez à prévenir les conflits que de faire face à leur gestion. Suivre une formation sur la gestion des conflits en entreprise est la meilleure solution pour vous.

S.T.O.P. : UNE TECHNIQUE POUR REVENIR AU CALME

Une période de crise, de stress , de tensions ou un évènement perturbateur (perte de contrôle d’un ou une élève, bagarre…) peut engendrer de grandes difficultés dans la gestion des émotions.Il est possible de retrouver le calme grâce à une technique conseillée par Gaëlle Piton dans son livre « La méditation, c’est la vie ». Elle est basée sur la pleine conscience et l’accueil des sensations et de la respiration.

Par Stéphane GOUDET – mardi 26 mars 2019

Cette technique, expérimentée régulièrement tel un rituel d’apaisement, pourra contribuer à apprendre aux élèves à apprivoiser leurs émotions.

Voici comment pratiquer en 3 minutes la technique dont l’acronyme est S.T.O.P.

STOP :

S comme Stop : Je fais une pause. J’arrête ce que je suis en train de faire. Je peux poser une main sur mon ventre ou mon coeur pour mieux sentir ma respiration.

T comme Temps : Je me concentre sur ma respiration en prenant conscience de l’air qui entre et sort.

O comme Observation : J’observe ce qui se passe en moi, ce que je ressens dans mon corps en accueillant toutes les sensations sans jugement. Qu’est-ce que j’éprouve ? Quelles sont les émotions qui me traversent.

P comme Présence : Rester en contact avec cette expérience pendant quelques instants et prendre conscience que le sensations, les émotions sont comme des vagues qui montent et finissent par redescendre puis disparaitre.

Pour ce type de technique de retour au calme, il est essentiel de s’entrainer car les effets seront de plus en plus visibles. L’idéal est de pratiquer ce « S.T.O.P. » lorsque vous n’êtes pas tendus au début afin de créer de nouveaux circuits neuronaux et d’ancrer cette habitude. Ainsi, initier les élèves lorsque le climat est apaisé permettra plus facilement de l’utiliser lors des périodes de crises.

LES 12 QUESTIONS DE JEFF BEZOS POUR ETRE HEUREUX DANS SA VIE

par Paloma González – 21 octobre 2020

Le secret du bonheur (et pour ne rien regretter dans la vie) est peut-être détenu par l’homme le plus riche du monde.

Non seulement Jeff Bezos souhaite être l’homme le plus riche du monde (c’est déjà le cas) mais il veut aussi être sûr qu’à l’âge de 80 ans, il pourra faire prendre du recul et savoir qu’il a vécu une vie heureuse sans avoir de regret, pris de mauvaises décisions ou avoir arrêté de faire ce qu’il voulait à cause des opinions et des critiques des autres.

“Quand vous aurez 80 ans, et que vous prendrez un moment de réflexion pour vous rappeler la version la plus personnelle de l’histoire de votre vie, la narration la plus significative et compacte sera la série de décisions que vous aurez prises”, expliquait Jeff Bezos dans son discours de 2010 à l’Université de Princeton.

Dans son discours, Bezos a déclaré aux diplômés que “nous sommes ce que nous choisissons” en soulignant le fait que nos décisions sont ce qui nous porte tout au long de la vie et qu’elles peuvent faire toute la différence lorsque nous arrivons au bout du chemin (ou au moment où il suffit de profiter de la retraite). Il ne faut donc pas se contenter de savoir que nous avons certaines compétences ou certains dons, nous devons les utiliser de la bonne manière si nous voulons être heureux sur le long terme :

“L’intelligence est un cadeau, la gentillesse est un choix. Les cadeaux sont faciles à obtenir, après tout, ils sont donnés. Les décisions peuvent être difficiles. Vous pouvez vous laisser séduire par vos dons si vous ne faites pas attention, et si c’est le cas, ce sera probablement au détriment de vos choix.” – Jeff Bezos

https://media.gqmagazine.fr/photos/5ea141e10b84640008631ea7/master/w_828%2cc_limit/reloj-de-jeff-bezos-ulysse-nardin-dual-time-dos.jpg

Cela signifie que le bonheur ne se mesure pas à la réussite commerciale, mais plutôt aux décisions que vous avez prises et que vous portez avec vous à chaque étape de la vie. En fin de compte, votre compte bancaire ne vous rendra pas heureux, le bonheur sera dans ce que vous avez fait, les décisions que vous avez prises et les choses (non matérielles) que vous avez faites en priorité.

Dans son cas personnel, Jeff Bezos a rappelé qu’en présentant le projet Amazon à son patron, il lui avait dit que ce serait une bonne idée s’il n’avait pas déjà un bon travail à l’époque, ce qui l’a presque convaincu de ne pas essayer. “C’était vraiment une décision difficile, mais à la fin, j’ai décidé que je devais essayer. Je ne pensais pas à regretter d’essayer et échouer. Et je soupçonnais que je serai toujours hanté par la décision de ne pas essayer du tout. Après mûre réflexion, j’ai choisi le chemin le moins sûr pour poursuivre ma passion et je suis fier de ce choix.”

Jeff Bezos a également dit que l’important est de construire une belle histoire pour soi-même, de suivre nos instincts et nos passions et de ne pas laisser les autres déterminer ce que l’on peut faire ou pas. C’est ce qui nous rendra vraiment heureux et évitera qu’à 80 ans on regrette de ne pas avoir essayé certaines choses par peur ou par pression sociale.

Pour Jeff Bezos, il vaut mieux échouer et en tirer des leçons pour continuer à grandir que de ne jamais prendre de risques et se retrouver coincé. Voici les 12 questions de Jeff Bezos pour être heureux (sans regrets) tout au long de la vie :

  1. Comment utiliserez-vous vos dons ?
  2. Quels choix ferez-vous ?
  3. Vous laisserez-vous guider par l’inertie ou suivrez-vous vos passions ?
  4. Allez-vous suivre le dogme ou serez-vous original ?
  5. Choisirez-vous une vie confortable ou une vie d’aventure ?
  6. Laisserez-vous la critique vous écraser ou suivrez-vous vos convictions ?
  7. Vous cacherez-vous quand vous avez tort ou allez-vous vous excuser ?
  8. Protégerez-vous votre cœur du rejet ou agirez-vous lorsque vous tombez amoureux ?
  9. Jouerez-vous la sécurité ou serez-vous un peu aventureux ?
  10. Quand c’est difficile, abandonnerez-vous ou serez-vous impitoyable ?
  11. Serez-vous cynique ou constructeur ?
  12. Serez-vous intelligent au détriment des autres ou serez-vous gentil ?

Le PDG d’Amazon reconnaît qu’il ne s’agit pas d’un guide universel pour atteindre le bonheur éternel mais plutôt d’un guide qui peut aider n’importe qui à prendre de meilleures décisions qui peuvent aider à être heureux et fier de sa propre histoire.

10 LEÇONS PRATIQUES DE LEADERSHIP DE STEVE JOBS

Par Daniel Colombo

Peut-être il n’a-t-il jamais imaginé l’impact global généré par le fait d’avoir été un homme d’affaires de premier plan dans le monde informatique. Prenez note de ses enseignements.

Les avis personnels exprimées par ses collaborateurs sont :

  • Focus: éliminez les distractions.
  • Simplifiez tout.
  • Prendre sa responsabilité.
  • Si vous prenez du retard, faites un bond en avant.

Tout le monde connaît Steve Jobs ; ou, du moins, ils connaissent son existence ou une des innovations qu’il a apporté au monde de la technologie.

Steve Paul Jobs, tel son nom complet, n’a peut-être jamais imaginé l’impact global généré par le fait d’être un entrepreneur de premier plan dans le monde de l’informatique; il a été le créateur de produits sophistiqués et faciles à utiliser, fondateur d’Apple, leader mondial de son secteur.

Ses différentes biographies soulignent la ligne épaisse de son personnage et la manière de diriger. Tout le monde le reconnaît pour avoir eu des idées visionnaires, qui ont apporté des contributions majeures dans le domaine des ordinateurs personnels, des téléphones portables et de la musique au format numérique. 

Sans aucun doute, comme tous les grands esprits, il est aimé et haï dans une égale mesure. Bill Gates , son concurrent Microsoft , a noté son admiration à la manière de raconter et de créer de l’empathie entre la personne (Jobs) et les produits à travers leur présentation; et beaucoup de ceux qui ont travaillé à ses côtés chez Apple pendant ces années se souviennent de lui comme d’un vrai génie.

En héritage, en plus de ses produits, il a laissé 10 leçons pratiques de leadership qui se dégagent de son expérience en affaires:

  1. Focus: éliminez les distractions. Après avoir été renvoyé de sa propre entreprise, Steve Jobs est revenu et l’une des premières décisions qu’il a prises a été de couper les projets et de ne laisser que quatre priorité. Il a dit: “Faisons quatre choses et faisons-les de façon spectaculaire.” 
  2. Simplifiez tout. Dans le monde d’aujourd’hui, la simplicité est la sophistication ultime. Optimiser les ressources et valoriser l’essentiel; laissez le superflu.
  3. Prendre ses responsabilités. Si vous dirigez, vous êtes responsable de l’ensemble du processus; à tel point qu’Apple a toujours créé des produits qui, en général, n’ont pas de compatibilité directe avec d’autres marques; Il a fait valoir que c’était le seul moyen d’assumer l’entière responsabilité du processus, du flux, du fonctionnement et de l’expérience de chaque utilisateur.
  4. Si vous prenez du retard, faites un bond en avant. Les ordinateurs Mac ne sont pas livrés avec des graveurs de CD, ce que son concurrent Windows Microsoft a fait. Jobs et son équipe sont allés de l’avant en créant iTunes, un système de stockage multi-appareils qui a changé l’industrie de la musique.
  5. Pensez d’abord aux produits, avant le profit. L’origine de chaque grande idée est l’idée elle-même, et l’argent viendra en plus. Steve a déclaré: “Concentrez-vous sur la création d’un excellent produit, les avantages suivront.”
  6. Groupe de focus jusqu’à. À un moment donné, Jobs a affirmé qu’il se sentait un peu asservi par les groupes d’évaluation des produits. Et puis sa célèbre phrase a émergé: “Les gens ne savent pas ce qu’ils veulent, jusqu’à ce que vous le leur montriez.” L’esprit humain a tendance à s’associer immédiatement à son expérience antérieure. Sans négliger les études de marché, si vous vous en tenez simplement à cela, vous ferez davantage la même chose, c’est-à-dire ce que les gens savent. 
  7. Déformer la réalité pour détruire l’impossible dans votre vie. Une fois Jobs était avec Woz ( Stephen Gary Wozniak ), co-fondateur d’Apple, qui l’a forcé à rompre avec quelque chose qui semblait impossible: «Avez-vous besoin de 6 mois pour développer cela? Vous pouvez le faire en 4 jours! ». Et Woz l’a fait. Cela signifie que les modèles mentaux et les limites auto-imposées sont souvent les plus grands obstacles aux dirigeants. 
  8. Communiquer en permanence. Tout communique et ajoute de la valeur, ou pas. Dans le cas des produits Apple, l’expérience se transmet à partir du moment où le consommateur aspire à avoir votre produit; emballage – les pièces de design elles-mêmes – et même les polices de caractères et la conception graphique – quelque chose que Jobs a découvert presque par hasard lorsqu’il a abandonné ses études de systèmes à l’Université Reeds et a suivi des cours de calligraphie, qui ont fini par être Autre caractéristique de leurs produits: des milliers de lettres différentes contre quelques-unes proposées par Microsoft. 
  9. Exigez l’excellence autant que possible. Jamais moins que ça. Bien que le concept de perfection auquel Jobs a fait allusion ne soit pas atteint sur ce plan physique, il s’est assuré que les produits n’étaient pas commercialisés jusqu’à ce que tout soit vérifié et qu’ils aient passé tous les contrôles et tests possibles. 
  10. Embauchez les meilleurs pour votre équipe. Il a simplement admis que chaque projet qu’il entreprenait n’aurait pas abouti sans les équipes qu’il avait dans chaque cas. La clé du leader est de savoir s’entourer de gens qui sont meilleurs que lui, avec plus d’expérience dans certains domaines, et les laisser briller.

Et enfin, l’une de ses phrases les plus célèbres: «Restez affamé, restez stupide. Allez pour plus. Questionnez, Découvrez, Croyez. », Extrait du célèbre discours qu’il a prononcé à l’Université de Stanford aux étudiants qui admiraient, perplexes, cet homme maigre, affaibli par sa maladie, et qui leur transmettait ce qu’il faisait de mieux: la passion pour Réaliser ses rêves.

RENFORCER SON CV PAR LES SOFT SKILLS

Les Soft Skills, qu’est-ce que c’est ?

Il s’agit tout simplement des aptitudes personnelles développées par la pratique. Les softs skills ne sont pas des éléments liés à un métier en particulier, ce sont des éléments que toute personne peut avoir. Il est tout de même important de noter que :

  • Un soft skill s’acquiert : ce n’est pas un élément inné chez les travailleurs. Comme nous l’avons dit ce sont des aptitudes faites à base de méthodes et de techniques qui peuvent, bien évidemment, être apprises, mais également auxquelles on peut se former.
  • Un soft skill s’entretient : cela signifie tout simplement qu’elle se met en œuvre. Vous devez forcément la pratiquer pour garder cette dernière en vous.

les softs skills vous permettront par exemple de développer des relations saines avec à vos collaborateurs et de mieux gérer les différents conflits.

Comme exemples de soft skills nous avons: le leadership, l’intelligence relationnelle, l’agilité organisationnelle, etc.

Quelle différence avec les Hard Skills ?

Un hard skill est tout simplement toute compétence technique ou académique que l’on peut acquérir au travers d’un parcours scolaire, mais également au sein d’expérience professionnelle. Notons également que les hard skills peuvent vraiment être liés à un métier ou à un domaine en particulier. Ils s’opposent donc aux soft skills, qui peuvent s’apprendre tout au long de la vie.

Voici quelques exemples de hard skills : la maîtrise d’un logiciel graphique, d’une langue étrangère, du langage informatique, d’un domaine technique, etc .

Bien évidemment les hard skills sont importants pour avancer dans sa carrière, mais sans les soft skills, cet avancement sera très limité.

Comment développer ses Soft Skills ?

Les soft skills commencent d’abord par une attitude positive, ce qui vous permettra de développer vos compétences personnelles, de raffiner sa communication communication et son sens de l’empathie.

Notons également que des notions de gestion sont importantes aussi en soft skills : la gestion du temps et la gestion du stress sont deux éléments clés à ne pas négliger, si vous souhaitez vraiment développer vos soft skills.

De nombreuses qualités qui font partie de votre personnalité doivent également être entretenues. La créativité, la curiosité, la sens du collectif ainsi que la présence. En effet, vous devez apprendre à travailler en équipe, tout en ayant vos idées personnelles ! Notons également que la motivation, l’audace ainsi que la vision (ou la visualisation), sont des concepts très importants pour développer ses soft skills.

GERER UN ARGUMENT A L’AIDE DE L’INTELLIGENCE EMOTIONNELLE

Par Mon Livret – octobre 13, 2020

Compte tenu de l’environnement politique et social d’aujourd’hui, il n’en faut pas beaucoup pour qu’un désaccord mineur s’intensifie rapidement. Avec la sensibilité des gens à leur apogée, des émotions fortes sont susceptibles d’émerger à la simple mention de certains sujets. Cette malheureuse conséquence des temps peut radicalement modifier la nature des relations importantes.

Géger avec l’intelligence émotionnelle est essentiel dans ces situations. Certaines personnes peuvent ne pas être d’accord avec votre point de vue, mais bon nombre de ces relations jouent un rôle important dans votre vie et votre entreprise. Le maintien d’une interaction saine aidera à préserver la qualité de la relation. Trouvez votre force et prenez la grande route; cela ne signifie pas que vous abandonnez ou sacrifiez vos valeurs. Rediriger un argument signifie que vous savez comment mettre de côté votre ego pour atteindre un résultat qui sert le bien supérieur.

Restez conscient de vous-même.

Les émotions négatives, telles que la colère et la frustration, détourneront votre corps. Par exemple, la respiration devient superficielle, les épaules et les intestins se contractent et le cerveau semble se détraquer avec des pensées et des émotions confuses. Il faut de la force pour reprendre conscience de soi, mais votre volonté est à la hauteur du défi.

Pensez aux raisons pour lesquelles votre humeur est à bout. Ce n’est pas tant la situation, mais les pensées que vous entretenez sur la conversation. Si vous ressentez le besoin d’avoir raison ou si vous ressentez un sentiment de vulnérabilité, par exemple, il est presque impossible de garder le contrôle de votre tempérament. Trouvez votre confiance et écoutez sans porter de jugement ni prendre les choses trop personnellement.

Montrer du respect.

Bien que vous puissiez être en désaccord avec cette personne avec véhémence, chacun a droit à ses opinions. Cela peut être un défi de respecter ce qu’ils disent, mais n’oubliez pas de les respecter en tant qu’être humain.

Rétablissez le respect tout au long de la conversation avec des déclarations telles que «Je comprends que nous puissions discuter de nos différences». Vous pourriez faire remarquer que vous comprenez à quel point le sujet est important pour eux, car vous ressentez la même chose.

Établissez un terrain mutuel.

Il y a quelque chose dans chaque sujet sur lequel deux parties peuvent s’entendre, même s’il repose sur un concept large. Vous voulez résoudre un problème, avoir une économie forte ou tout ce qui est au cœur de votre débat. Trouvez ce point et admettez que vous avez des idées différentes sur la façon d’y arriver, mais que vous voulez tous les deux ce qu’il y a de mieux.

Favorisez la confiance.

Les gens veulent être entendus et doivent avoir confiance qu’ils peuvent exprimer leurs opinions sans conséquence. Le rejet sape la confiance et le respect. Dirigez la conversation vers un environnement de confiance mutuelle en leur demandant de vous en dire plus sur un point précis.

Convenir d’être en désaccord.

Différents points de vue, valeurs, attentes, besoins et personnalités en général sont ce qui fait que ce monde fonctionne. Si tout le monde partageait les mêmes idées, il n’y aurait ni innovation, ni équilibre, ni croissance. En tant que leader, il est essentiel de s’entourer de personnes qui pensent différemment de vous.

Apprenez à apprécier et valoriser la diversité plutôt que de forcer votre opinion.

J’ai récemment pris part à une conversation où l’autre partie est devenue de plus en plus frustrée en apprenant que nous ne partagions pas le même point de vue. Plutôt que de faire correspondre l’intensité de mon ami, j’ai choisi de neutraliser la situation en disant: “Tu sais, John. Je pense que c’est génial de pouvoir discuter de nos différences avec respect et peut-être même apprendre quelque chose les uns des autres. Je sais que cela n’affectera pas notre amitié, ce qui est cool chez nous. ” Le ton de John a immédiatement changé et la discussion est restée amicale.

Mettez fin à la conversation.

Si le ton de votre partenaire de discussion continue de s’intensifier, il est probablement préférable de terminer la conversation avec courtoisie. La volonté de s’éloigner avant que trop de dégâts ne soient causés est une démonstration de confiance et d’intelligence émotionnelle.

Mettez fin à la discussion en disant quelque chose comme: « nous avons tous les deux des opinions bien arrêtées sur ce sujet. Acceptons de respecter ce fait et en restons là».

10 COMPETENCES QUI PROUVENT QUE VOUS ETES LA PERLE RARE DANS VOTRE ENTREPRISE

Les “compétences douces” dites aussi “soft skills” font de vous un candidat ou un salarié exceptionnel. Quelles sont-elles ?

 Publié par Chrystelle Thévenot le 09/10/2020

C’est fini les embauches basées uniquement sur les diplômes, les performances linguistiques et les mille et un langages informatiques maîtrisés, etc.

Ce qui compte aujourd’hui, ce sont les compétences comportementales… autrement nommées soft skills, terme qui désigne à la fois l’intelligence relationnelle, les capacités de communication, le caractère, les aptitudes interpersonnelles.

Bref, toutes ces capacités complémentaires à celles qui s’apprennent et se mesurent, que l’on nomme, par opposition, les « hard skills ».

La résolution de problèmes complexes

Votre capacité à résoudre des problèmes complexes démontre tout d’abord votre aptitude à identifier un problème et à en percevoir la complexité.

Elle suppose également une bonne capacité d’analyse, une aptitude à trouver des solutions – au travers de ressources-clés identifiées. Et surtout, une capacité à prendre des décisions pour mettre en œuvre le plan d’action.

L’esprit critique : des compétences que les entreprises s’arrachent

Faire preuve d’esprit critique, c’est être capable de mener un raisonnement, qu’il soit inductif ou déductif, afin de résoudre des problèmes.

En entreprise, précieuses sont les personnes qui savent s’appuyer sur leurs connaissances et leurs observations pour envisager de façon logique les solutions possibles à un problème.

L’intelligence émotionnelle

La notion d’intelligence émotionnelle (IE) – ou quotient émotionnel (QE) – a été développée en parallèle de ce qui constituait jusqu’alors le Graal : le QI.

Depuis, c’est une petite révolution qui agite le monde de l’entreprise : au-delà de la capacité intellectuelle de l’individu, une autre forme d’intelligence basée sur la conscience et la maîtrise de ses émotions, l’empathie, la motivation et les compétences sociétales, prend de l’importance…

Jusqu’à devancer le QI comme principal référent de l’intelligence d’une personne !

Le jugement et la prise de décision

Essentielle dans un environnement de travail complexe et mouvant, la capacité de jugement et de prise de décision. Cela sous-entend que vous devez avoir un esprit critique, une capacité d’analyse et une aptitude à arbitrer entre plusieurs options.

Or, en entreprise, savoir analyser c’est bien. Savoir agir pour faire évoluer les choses, c’est encore mieux !

Le sens du service

Dans un cadre où les fonctions sont de plus en plus transverses, l’entreprise a besoin de profils capables de sortir de leurs missions pour mettre leurs compétences au service de l’entreprise.

Que ce soit pour aider un autre département, coacher un collègue ou gérer une urgence, votre sens du service montre que vous êtes une personne sur qui l’on peut compter.

Et pour l’entreprise, cette qualité n’a pas de prix !

La négociation

Négocier, ce n’est pas imposer sa décision en étant hermétique aux positions des autres.

C’est, au contraire, être capable d’intégrer divers points de vue et d’argumenter pour faire accepter le sien.

Écouter, rebondir, interagir sont indispensables pour bien négocier… Soit une certaine forme d’agilité intellectuelle, aujourd’hui très valorisée en entreprise.

Le management

« Seul on va plus vite, ensemble on va plus loin ». Cet adage, très caractéristique de notre époque, prouve que la richesse est créée par le collectif.

Or, le collectif – c’est-à-dire les équipes – a besoin d’être encadré, motivé, fédéré.

Le management est depuis plusieurs années une compétence particulièrement valorisée – en témoignent les titres des cadres, qui sont tous managers, au moins de projets…

Leadership et influence sont indissociables de cette compétence de management.

L’esprit d’équipe

La performance individuelle est comme critère d’évaluation des employés. Dans une société où c’est le collectif qui crée de la valeur, l’esprit d’équipe est primordial.

Savoir penser collectif, renforcer la cohésion et porter le groupe constituent des compétences qui peuvent faire la différence !

La créativité

Source d’innovation, la créativité est la compétence-reine des start-up : elle permet de s’éloigner des schémas de pensée dominants, elle ouvre à de nouvelles alternatives, elle invite à disrupter les modèles… et permet même de trouver un océan bleu !

Et comme tout le monde le sait, qui n’innove pas, meurt. D’où l’importance de la créativité, en start-up mais aussi dans toutes les entreprises qui souhaitent s’assurer un avenir à moyen terme.

La flexibilité

La flexibilité, c’est cette forme de souplesse qui permet de s’adapter à des personnes, des situations et des problématiques.

Dans des environnements de plus en plus instables, elle est la compétence indispensable.

MANAGER : CES PHRASES ANODINES QUI SAPENT VOTRE AUTORITE

Par Christelle Ibach, Cadre Dirigeant Magazine

Focaliser sur les lieux communs, les phrases à tiroir, à connotation négative… qui, s’y vous n’y prenez garde, vous desservent gravement.

« Nous allons essayer d’atteindre les objectifs »

Pourquoi juste « essayer » ? L’objectif est difficile, certes, mais si vous-même n’y croyez pas à 100 %, vous n’arriverez jamais à motiver vos équipes. Le verbe « essayer » laisse la place à l’échec. Or, en tant que manager vous devez insuffler la réussite, montrer que vous croyez aux objectifs à atteindre et entraîner vos collaborateurs avec vous.
Cessez d’essayer et faites-le, vous serez beaucoup plus convaincant !

« Bonne chance ! », « Bon courage ! »

« Bonne chance », « bon courage », ces petites expressions lancées à la volée sont défaitistes. Elles impliquent que le collaborateur que vous êtes en train de motiver a besoin d’un coup de pouce du destin pour arriver à son objectif, ou de s’armer de courage comme s’il se rendait au casse-pipe. Un bon manager a confiance en ses équipes, en leurs compétences et leurs capacités à relever des défis.
Personne n’a besoin de chance ni même de courage pour accomplir sa mission, censée être un challenge et un bon moment à passer.

« Normalement » et les phrases à tiroir

« Normalement, la procédure à suivre implique de… » est typiquement une phrase à tiroir. Elle signifie qu’en règle générale la procédure à suivre est ainsi faite, mais inclure le mot « normalement » brouille tout. Allez-vous suivre « normalement » la procédure, allez-vous finalement changer les règles dans ce cas précis ? Attention, manager signifie affirmer vos positions en répondant aux questions de manière ferme, claire, nette et précise.
Autre exemple : « normalement, tout devrait fonctionner ». Ici, le terme normalement traduit clairement un manque de confiance.
Pour éviter une utilisation néfaste du terme « normalement », mieux vaut le bannir définitivement de votre vocabulaire !

Éviter les « mais »

Dans la mesure du possible, il s’agit d’éviter de rajouter le fameux « mais » à chaque affirmation. « C’est une bonne idée, mais… ». « Je suis d’accord, mais… » : sont des tournures qui cassent les initiatives prises par vos collaborateurs.
Privilégiez des phrases telles que « c’est une bonne idée et j’ajouterai que… » « Je suis d’accord et nous pouvons également… », qui donnent confiance, suscitent la motivation et la prise d’initiative.

« Pas de problème » et les phrases à connotation négative

« Pas de problème », cette petite phrase est non seulement une négation, mais en plus comporte le mot « problème ». Rien de tel pour faire inconsciemment passer le message totalement inverse, à savoir : « Oui, il y a un problème ! ». Ce type de formulation est à remplacer par des phrases telles que « tout est OK » ; « tout va bien » ou encore « rassurez-vous » plutôt que « ne vous inquiétez pas ».
Un bon manager est positif et sait (vraiment) rassurer ses équipes, il bannit tous mots à connotation négative de son vocabulaire !

35 CITATIONS D’ANTHONY ROBBINS POUR VIVRE MIEUX

Homme plein de sagesse, Anthony Robbins est une autorité reconnue en ce qui concerne le développement personnel. Il a servi comme conseiller auprès des plus grandes personnalités et des dirigeants les plus influents de ce monde. A travers ses livres et conférences il a influencé la vie de plus de 50 millions de personnes dans plus de 100 pays.

citation Anthony Robbins
  1. « Le se­cret du suc­cès est d’ap­prendre à uti­li­ser la souf­france et le plai­sir au lieu d’avoir la souf­france et le plai­sir vous uti­li­ser. Si vous faites cela vous contrô­le­rez votre vie. Si vous ne le faites pas la vie vous contrô­lera. »
  2. « Votre passé ne doit pas être pa­reil à votre ave­nir. » – Citation Anthony Robbins
  3. « Pour que le chan­ge­ment soit réel il doit être du­rable et co­hé­rent.  » – Anthony Robbins
  4. « Le seul pro­blème que nous avons vrai­ment c’est que nous pen­sons que nous ne sommes pas cen­sés avoir de pro­blèmes ! Les pro­blèmes nous poussent à nous dé­pas­ser – faites fasse et agis­sez main­te­nant ! » – Anthony Robbins
  5. «  Les seules per­sonnes sans pro­blèmes sont celles qui sont dans les ci­me­tières. «
  6. « La plu­part des gens échouent dans la vie parce qu’ils portent trop d’im­por­tance aux pe­tites choses. «  – Anthony Robbins
  7. «  Le suc­cès c’est de faire ce que vous vou­lez, quand vous le vou­lez, où vous le vou­lez, avec qui vous le vou­lez et au­tant que vous le vou­lez. « – Anthony Robbins
  8. « Il ne s’agit pas de sa­voir quoi faire mais faire ce que vous sa­vez faire. » –Citation Anthony Robbins
  9. « La qua­lité de votre vie est égale à la qua­lité de vos re­la­tions.» – Anthony Robbins
  10. « Le che­min vers la réus­site consiste à prendre des me­sures fermes et dé­ter­mi­nées. «
  11. « Vos re­ve­nus sont la somme de vos stan­dards de vie non pas de l’in­dus­trie ou de l’éco­no­mie. » – Anthony Robbins
  12. « Où va votre concen­tra­tion va votre éner­gie. » –Citation Anthony Robbins
  13. « Une fois que vous sau­rez gé­rer votre temps, vous com­pren­drez com­bien il est vrai que la plu­part des gens sur­es­timent ce qu’ils peuvent ac­com­plir en un an et sous-es­timent ce qu’ils peuvent réa­li­ser en une dé­cen­nie. « – Anthony Robbins
  14. « Une vraie dé­ci­sion est me­su­rée par le fait que vous avez pris une nou­velle ac­tion. S’il n’y a pas d’ac­tion vous n’avez pas vrai­ment dé­cidé. » – Anthony Robbins
  15. « La vie est un don et elle nous offre le pri­vi­lège, la pos­si­bi­lité et la res­pon­sa­bi­lité de don­ner quelque chose en re­tour en de­ve­nant meilleur. « – Anthony Robbins
  16. « Votre vie change au mo­ment où vous pre­nez une nou­velle dé­ci­sion. « –Citation Anthony Robbins
  17. « Dans la vie vous avez be­soin soit d’ins­pi­ra­tion soit de déses­poir. «
  1. « Si vous faites ce que vous avez tou­jours fait, vous ob­tien­drez ce que vous avez tou­jours eu. « – Anthony Robbins
  2. « Dé­fi­nir des ob­jec­tifs est la pre­mière étape dans la trans­for­ma­tion de l’in­vi­sible dans le vi­sible. « – Anthony Robbins
  3. « Les choses n’ont pas de sens. Nous at­tri­buons un sens à toutes choses. »
  4. « C’est ce que vous pra­ti­quez en privé qui vous ré­com­pen­sera en pu­blic. « – Anthony Robbins
  5. « La plu­part des gens n’ont au­cune idée des ca­pa­ci­tés que nous pou­vons at­teindre lorsque nous concen­trons toute notre éner­gie sur la maî­trise d’un do­maine unique de notre vie. «  –Citation Anthony Robbins
  6. « Si au­jour­d’hui vous n’avez pas la vie que vous dé­si­rez c’est qu’il y a une peur qui vous em­pêche de pas­ser à l’ac­tion. «
  7. « L’ac­tion est ce qui crée toutes les grandes réus­sites. L’ac­tion est ce qui donne des ré­sul­tats. « – Anthony Robbins
  8. « Les per­sonnes qui ont du suc­cès se posent de meilleures ques­tions et comme ré­sul­tat ils ob­tiennent de meilleures ré­ponses. » – Anthony Robbins
  9. « C’est dans vos mo­ments de dé­ci­sion que votre fu­tur se construit. »
  10. « Toute per­sonne qui réus­sit avait un rêve et l’a pour­sui­vit jus­qu’au bout. »
  11. « Si vous vou­lez chan­ger votre vie, la pre­mière chose à faire est d’être dé­rai­son­nable. Ce­lui qui change le monde n’est pas rai­son­nable. Il adapte le monde à sa vi­sion des choses. « -Citation Anthony Robbins
  12. « Le suc­cès est le fruit d’un bon ju­ge­ment, le bon ju­ge­ment est le fruit de l’ex­pé­rience, l’ex­pé­rience est sou­vent le fruit d’er­reurs de ju­ge­ment. »
  13. « Tous ceux qui réus­sissent font des ef­forts conti­nus. Ils ne se contentent ja­mais de bons ré­sul­tats et cherchent tou­jours à se sur­pas­ser. » – Anthony Robbins
  14. « Ce que vous de­vez faire à pré­sent c’est rê­ver. Avant qu’une chose ne se pro­duise dans le monde elle doit tout d’abord se pro­duire dans votre es­prit. »
  15. « Po­sez-vous les bonnes ques­tions. Les ques­tions ren­ferment la ré­ponse. »
  16. « Pou­voir dé­ci­der c’est pou­voir chan­ger. La seule fa­çon de chan­ger de vie est de prendre une vé­ri­table dé­ci­sion. » – Citation Anthony Robbins
  17. « Ce n’est pas parce que le des­tin nous re­fuse quelque chose à un cer­tain mo­ment qu’il faut consi­dé­rer ce re­fus comme dé­fi­ni­tif. »
  18. « Une grande part de mon suc­cès est at­tri­buable à ma ca­pa­cité de me convaincre que je peux réus­sir quelque chose même si je n’y connais rien. « – Anthony Robbins